La venue d’assistants socio-éducatifs titulaires d'un CFC sur le marché du travail peut conduire, sous la pression budgétaire, à une sous-enchère salariale dans le domaine social.
Le risque est que des ASE fassent demain, pour moins cher, le travail que des éducateurs sociaux, des éducateurs de la petite enfance et des animateurs font aujourd'hui.
Mais la formation d'ASE peut être la chance d'une hausse des compétences dans des domaines encore peu qualifiés, et un apport complémentaire de compétences dans les domaines où les professionnels peinent aujourd’hui à faire face à des besoins toujours plus lourds et complexes.